vendredi 21 septembre 2007

Ouders McCann moeten aan leugendetector


Ouders McCann: Leugendetectortest - Parents McCann: Détecteur de mensonge

goed.1984281133_1999997234_337x253proces-marcel 15.11.027Volgens de krant 'Le Vif' en het persagentschap Belga worden de ouders McCann nu aan een leugendetectortest onderworpen.

Ook tijdens het proces tegen Morkhoven-actievoerder Marcel Vervloesem gaf de rechter opdracht om een leugendetectortest te laten uitvoeren.

Alhoewel de test nooit nodig was geweest indien het parket van Turnhout haar werk had gedaan en de ontlastende documenten voor Marcel Vervloesem niet had weggestoken, wees de test uit dat Vervloesem de waarheid had gesproken. De Vlaamse pers was daarover zo teleurgesteld dat zij met tranen en tuiten in de ogen schreef dat leugendetectortesten 'niet 100% betrouwbaar' waren.

Slechts één van de aanklagers werd voor de leugendetectortest opgeroepen en die weigerde die test dan nog ! De 8 andere aanklagers, waaronder het Herentalse SP.A-gemeenteraadslid Victor V. die de klachten tegen Vervloesem organiseerde, mochten rustig thuis blijven.

Het parket van Turnhout deed ook niets met de 30 processen-verbaals van zedenfeiten met kinderen en minderjarigen waarin de voornoemde Victor V. wordt genoemd.
Op 24 oktober 2006 liet Morkhoven-voorzitter Jan Boeykens een afschrift van deze processen-verbaals voor ontvangst afstempelen op het bureau van de Antwerpse procureur-generaal Christine Dekkers maar dat bracht maar weinig aarde aan de dijk. Het bleef muisstil rond deze zaak en men kan zich afvragen of er eigenlijk wel een onderzoek in deze zaak werd bevolen.

Van de Vlaamse pers die de Werkgroep Morkhoven bijna 10 jaar lang door het slijk sleurde om het onderzoek naar de tientallen kindermisbruikers in de kinderpornozaak Zandvoort in de doofpot te kunnen steken, moet men in ieder geval niets verwachten. Die probeert natuurlijk ook de zedenzaak rond het SP.A-gemeenteraadslid dood te zwijgen...

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Les parents McCann au détecteur de mensonge

21/09/2007 11:26

Les parents de la petite Britannique Madeleine McCann, disparue en mai dans le sud du Portugal, accepteraient de subir un test au détecteur de mensonge afin d'être lavés de tout soupçon.

Kate et Gerry McCann, les parents de la fillette disparue en mai au Portugal, sont soupçonnés, selon leur entourage, d'homicide involontaire et dissimulation de cadavre et ont été mis en examen le 7 septembre par la police judiciaire portugaise.

"Si on leur demande de subir un test au détecteur de mensonge par la police, ils le feront", a révélé au tabloïd The Sun une source anonyme, proche de la famille. "Il n'ont cessé de dire qu'ils voulaient totalement coopérer avec la police portugaise, mais jusqu'à aujourd'hui ils n'ont reçu aucune requête dans ce sens de la part des autorités portugaises". Mais le procureur général du district d'Evora, Luis Bilro Verao, qui chapeaute l'enquête, a indiqué mercredi soir qu'aucun élément nouveau "ne justifiait de nouveaux interrogatoires" des McCann.

Ces derniers clament leur innocence et appellent à la poursuite des recherches pour tenter de retrouver leur fille, aujourd'hui âgée de quatre ans, et dont ils se disent convaincus qu'elle a été enlevée. Selon eux, Maddie a disparu alors qu'elle dormait dans une chambre d'un complexe hôtelier de Praia da Luz (sud du pays), en compagnie de son frère et sa soeur, tandis que ses parents dînaient dans un restaurant à une cinquantaine de mètres de là.

Levif.be avec Belga

http://www.levif.be/actualite/europe/72-57-8268/les-parents-mccann-au-detecteur-de-mensonge.html

4 commentaires:

mallondre a dit…

Détecteur de mensonge

Le 9 février 2005 au petit matin, journalistes et policiers en civil sont au rendez-vous du Palais de Justice de Turnhout (Belgique).

Le Werkgroep Morkhoven arrive, flashé comme des Chefs d’Etats. L’humeur est bonne, l’attente est longue. Un gendarme confisque l'affiche d'un des activistes et qui contraste avec celles de la commune : "Justice impartiale, sans 'doofpot*', ni œillères".

Marcel Vervloesem devait répondre d’avoir possédé les archives du réseau pédocriminel de Zandvoort le temps de les remettre à la justice ; d’une escroquerie dont l’accuse l’ex-compagne d’un officier hollandais qui s’était présenté sous un faux nom et espérait mettre la main sur les CD-ROMS ; et d’entrave à la vie privée de criminels non identifiés du réseau.

En outre, 9 hommes l'accusent de viol. Tous sont eux-mêmes accusés ou incarcérés pour vols à main armée, viols ou de recel de matériel pornographique. L’un d’eux a témoigné qu’ils avaient été payés 370 euro chacun pour nuire à l’accusé. La presse flamande et le tribunal ont choisi la version diffamante, jusqu’à engendrer des accusations mensongères de condamnation antérieure pour viols de mineurs avec violence.

Au bout de près de 7 ans d’attente, 4 reports d’audience, la ruine de l'accusé et de son association de lutte contre les réseaux pédocriminels; l'avocat du Werkgroep Morkhoven avait enfin pu défendre. Marcel Vervloesem. En moins d’une heure, il apportait des éléments si frappants, que le doute était établi et le Président du tribunal proposa un détecteur de mensonge. Depuis, des dix présumées victimes de cette affaire, seul Marcel Vervloesem qui invoque la cabale a accepté de passer au détecteur de mensonge: les 9 accusateurs le refusent.

Ce 9 février, le tribunal a décidé que la suite du procès est à nouveau reportée , le 14 septembre 2005, pour pouvoir effectuer le détecteur de mensonge. Sept mois pour quelques heures de travail: l'avocat du Werkgroep Morkhoven se prépare à plaider le délai irraisonnable qui a ruiné l'accusé.


* Doofpot: pot de sourds. Terme belge provenant de la langue flamande et qui dans le contexte juridique signifie l’étouffement d’une affaire.

Militant a dit…

Le projet «Phénix»: échec à Turnhout

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Sénat de Belgique

Annales

JEUDI 8 MARS 2007 - SÉANCE DE L'APRÈS-MIDI

(Suite)

Demande d'explications de Mme Clotilde Nyssens à la vice-première ministre et ministre de la Justice sur «le projet Phénix» (nº 3-2179)

Mme la présidente. - M. Vincent Van Quickenborne, secrétaire d'État à la Simplification administrative, adjoint au premier ministre, répondra.

Mme Clotilde Nyssens (CDH). - Je me réjouis d'avoir introduit cette demande d'explications il y a huit jours puisque ce matin la ministre a fait des déclarations à propos du projet Phénix dans la presse. Il était donc temps d'interroger la ministre.

Lors du super-conseil des ministres des 30 et 31 mars 2004, le premier ministre avait déclaré qu'avant la fin de la législature, le projet Phénix devait garantir une informatisation complète de la Justice. En 2004 et 2005, tous les tribunaux de police et du travail seraient informatisés. Puis, ce serait le tour des autres tribunaux pour terminer en 2007, par la Cour de cassation et les tribunaux de commerce. Avant la fin de la législature, l'ensemble des cours et tribunaux seraient reliés entre eux par un intranet sécurisé et une plate-forme compatible avec tous les systèmes d'information. Des dossiers électroniques verraient le jour.

Il semble qu'en septembre 2005, le test du système au parquet de police de Turnhout, qui devait être opérationnel en 2004, s'est soldé par un échec.

Le fournisseur, Unisys, n'aurait pas respecté les dispositions contractuelles et le plan d'exécution n'aurait pas été suivi. Aujourd'hui il semble que les problèmes restent entiers. Le système ne peut être testé.

Cela a notamment eu des conséquences pour les justices de paix, qui ont été contraintes d'acheter de coûteuses machines de seconde main.

Mes questions à Mme la ministre sont les suivantes. Combien le projet Phénix a-t-il coûté jusqu'à présent ? Quels sont les engagements financiers ? Où en est la situation avec le fournisseur du système ? Est-il vrai que la situation est bloquée ? Le gouvernement est-il condamné - comme on le laisse souvent entendre - à continuer à travailler avec le même fournisseur de services sous peine de payer de considérables indemnités de dédit ? Comment la ministre envisage-t-elle de débloquer la situation ?

J'ai appris ce matin qu'un conseil des ministres restreint a confirmé la rupture du contrat avec la firme Unisys vu le retard accumulé par cette firme et le manque manifeste de qualité des prestations fournies. La ministre a ajouté qu'elle a reçu le soutien de l'Ordre judiciaire et de l'administration Fedict chargée de l'informatisation des services de l'État, ainsi que l'accord de l'inspection des Finances.

Pour sa part, Unisys évoque des manquements graves du département de la Justice qui serait dans l'incapacité de déployer le cadre indispensable à la réussite du projet et déplore que ses nombreuses propositions constructives soient restées sans suite.

Selon le communiqué de la ministre de ce matin, le gouvernement prendra toutes les mesures utiles afin d'obtenir le dédommagement de l'important préjudice subi par l'État. Peut-on déjà estimer ce préjudice lié à un marché qui semble atteindre 22 millions d'euros ? Cependant Unisys a décidé aussi de demander des dommages en justice à cause du choix de la ministre et de la communication qu'elle a faite sur le sujet. Les suites de cette affaire sont donc incertaines et ne connaîtront pas de sitôt un aboutissement en justice.

Déjà en 2003, le gouvernement parlait de dénoncer ce contrat. Pourquoi un tel retard dans la prise de décision si les manquements évoqués étaient déjà connus et avérés ? Quels efforts ont-ils été entrepris par la ministre dès le début pour que ce projet aboutisse ? Qu'en est-il désormais de l'informatisation de la Justice ? Il semble que ce projet soit remis à 2008, c'est-à-dire durant la prochaine législature. La ministre a parlé dans la presse de créer un groupe d'experts pour débroussailler le terrain et proposer un nouveau calendrier des travaux. La ministre peut-elle nous donner de plus amples informations à ce sujet ?

Voilà les questions que j'aurais voulu poser à Mme Onkelinx. C'eût été plus facile si elle avait été présente plutôt que de demander des explications complètes au secrétaire d'État.

De heer Hugo Vandenberghe (CD&V). - CD&V heeft sinds 2001 in de commissie voor de Justitie meermaals zijn bezorgdheid over het Phenixproject geuit. Blijkbaar hebben de maatregelen om de informatica binnen Justitie te vereenvoudigen een omgekeerd effect. Kafka neemt enkel maar toe. Waarom raakt dit `grootse' project niet van grond?

M. Vincent Van Quickenborne, secrétaire d'État à la Simplification administrative, adjoint au premier ministre. - Je vous lis la réponse de Mme Onkelinx.

Comme vous l'avez sans doute appris, j'ai rompu hier, avec l'accord du gouvernement, le contrat conclu avec la société Unisys, laquelle était chargée de développer l'application informatique Phénix.

Cette décision était inévitable vu les retards accumulés par la firme et le manque manifeste de qualité des prestations fournies. J'ai reçu le soutien de l'Ordre judiciaire et de Fedict. L'inspection des Finances a également marqué son accord sur cette décision.

Pour rappel, les principes du projet Phénix avaient été adoptés en 2000. Ce projet visait à uniformiser les outils informatiques mis à la disposition de l'Ordre judiciaire, à instaurer le dossier judiciaire électronique, à accélérer et à simplifier ainsi le travail du personnel judiciaire, et également à faciliter les échanges entre l'Ordre judiciaire et les auxiliaires de la Justice - les avocats, huissiers, notaires, experts judiciaires - de même qu'avec le justiciable.

En décembre 2001, le gouvernement a accordé le marché Phénix à la firme Unisys suite à un appel d'offres général.

Après une première phase d'analyse fonctionnelle, Unisys a entamé la phase clé « développement » au milieu de l'année 2003.

Tout au long des quatre années écoulées, le projet a fait l'objet d'un suivi attentif, tant par Fedict que par un comité de pilotage composé du président de la Cour de cassation, du président du comité de direction du SPF Justice et du chef de cabinet de la ministre de la Justice.

Lors de la première concrétisation tangible de Phénix, c'est-à-dire le lancement d'un site pilote au parquet de police de Turnhout en avril 2005, des défauts de qualité importants sont apparus.

Ce premier échec à Turnhout a été pris très au sérieux par la firme Unisys elle-même : la maison mère américaine est intervenue et, en juin 2005, Unisys a présenté un plan de remédiation. Ce dernier a été validé par Fedict et a débouché sur la conclusion d'un avenant au contrat en octobre 2005, avec un planning adapté et des garanties supplémentaires pour l'État.

Les équipes Unisys ont été renforcées en conséquence et le travail s'est poursuivi, certes avec des retards mais ceux-ci n'ont pas été jugés anormaux, vu l'ampleur et la complexité du projet.

En outre, plus aucune facture n'a été payée par l'État depuis décembre 2004.

À l'automne 2006, la situation est redevenue préoccupante. Rien de ce qui devait être délivré ne l'était à temps et le seul délivrable disponible - application limitée au règlement collectif de dettes - était loin de répondre aux attentes des utilisateurs de l'Ordre judiciaire appelés à le tester. En outre, les équipes d'Unisys avaient été réduites.

Compte tenu de ces nouveaux signaux alarmants, Unisys a été formellement mise en demeure de respecter ses engagements contractuels, en ce compris le calendrier.

Des pourparlers ont eu lieu pour essayer de sortir de l'impasse, mais en vain.

Au terme d'une analyse méthodique, Fedict a en effet estimé que les réponses apportées par Unisys étaient très insuffisantes et que les chances de succès étaient très minces.

Cet avis était partagé par le pouvoir judiciaire.

La décision de mettre un terme au contrat m'est donc apparue comme étant la seule responsable pour préserver au mieux les intérêts de l'État.

Le projet d'informatisation de la Justice n'est pas pour autant abandonné. Le gouvernement réaffirme sa volonté d'aller de l'avant.

À court terme, il a été décidé de poursuivre, avec d'autres fournisseurs, la modernisation des applications informatiques existantes au sein des justices de paix, tribunaux et parquets de police, ainsi qu'en ce qui concerne le règlement collectif de dettes. Ces applications seront centralisées sur un serveur unique, et un module d'impression centralisée des plis judiciaires pour ces trois entités devrait être opérationnel dans les prochains mois.

Le prochain ministre de la Justice sera amené à prendre les décisions qui s'imposent pour relancer la procédure judiciaire électronique. Il devra pouvoir le faire en connaissance de cause. Pour l'aider dans cette tâche, un groupe d'experts composé d'informaticiens, de juristes et de représentants de l'Ordre judiciaire sera chargé de faire des propositions concrètes pour la mise en oeuvre de la réorientation de ce projet.

Par ailleurs, le matériel informatique acquis dans le cadre du projet Phénix sera bien rentabilisé tant pour le portail de l'Ordre judiciaire que pour la modernisation et la centralisation des applications existantes.

Grâce au projet JustScan - scanning des dossiers judiciaires - qui vient d'être lancé et à la banque de jurisprudence en ligne - Juridat-bis - qui sera prochainement opérationnelle, des progrès importants ont été réalisés en matière d'informatisation de l'Ordre judiciaire.

Une somme de 8.967.087 euros a été payée à Unisys avant l'avenant d'octobre 2005, soit environ 6.700.000 euros au cours de la précédente législature et 2.260.000 euros au début de l'actuelle législature. Cette somme fera l'objet d'une demande de dommages et intérêts à charge d'Unisys par voie judiciaire si nécessaire.

Par ailleurs, une somme d'environ 11.000.000 d'euros doit être considérée comme ayant été consacrée à des investissements totalement ou en très grande partie récupérables. Il s'agit essentiellement de l'achat du hardware, en l'espèce les serveurs Bull - 10.945.923 euros - et du marché relatif à l'impression centralisée - 432.000 euros.

Le coût des mesures à prendre à très court terme pour assurer la pérennité de l'outil informatique des juridictions qui en ont le plus besoin est actuellement en cours d'évaluation et sera mis à charge des crédits 2007 initialement prévus pour les paiements de la firme Unisys. Cela concerne les justices de paix, les parquets et tribunaux de police et les tribunaux du travail pour le traitement du contentieux du règlement collectif de dettes. Je pourrai vous en dire plus à l'issue du contrôle budgétaire.

Pour les deux premières, il s'agit de moderniser les applications existantes et de les centraliser sur les serveurs Bull. Pour les juridictions du travail, il s'agit de développer une application standard pour le règlement collectif de dettes.

En tout état de cause, tout est actuellement mis en oeuvre pour que l'ambitieux projet d'informatisation de la Justice puisse se poursuivre sur des bases saines.

Mme Clotilde Nyssens (CDH). - Je suis catastrophée à l'idée que ce projet Phénix se termine de cette manière, même si les éléments positifs mis en avant tentent de minimaliser.

Je ne sais pas qui est en faute. La firme Unisys dit que Mme Onkelinx minimalise ses propres fautes. De toute façon, la collaboration n'a pas marché. Unisys est indignée par la réaction du gouvernement et de Mme Onkelinx en disant qu'aucune suite n'a été donnée à de nombreuses propositions constructives de la firme. Je n'en sais rien. Je ne connais rien en informatique et encore moins dans le suivi de Phénix pratiquement.

Ce qui me désole, c'est que l'on attend depuis longtemps l'informatisation de la justice. C'est ce qui fait la lenteur de la justice. Nous avions fait confiance. On parlait du projet Phénix comme étant le projet que l'on attendait. Aujourd'hui, nous en sommes là : à des actions en justice pour récupérer des dommages et intérêts et couper le contrat.

Je trouve cela désolant, en fin de législature. La qualité de la justice passe par l'informatisation. Les projets boulimiques que Mme Onkelinx nous a fait voter contiennent sans doute beaucoup de choses positives, mais l'informatisation est un préalable. Je suis très inquiète pour l'avenir de la Justice et je suivrai attentivement ce dossier.

Militant a dit…

De 'leugendetectortest'


De leugendetectortest die van Marcel Vervloesem werd afgenomen, toonde aan dat hij de waarheid had gesproken.

Een zogenaamd slachtoffer van Marcel Vervloesem dat voor de leugendetectortest was opgeroepen, weigerde met veel kabaal om de leugendetectortest te ondergaan.

De andere zogenaamde slachtoffers werden zelfs niet meer voor de leugendetectortest opgeroepen en de openbare aanklager Vander Flaes die 10 jaar gevangenis voor Marcel Vervloesem eiste, besliste in de plaats van de Turnhoutse rechter-voorzitter Caers dat die leugendetectortest niet meer nodig was.

Ook het Herentalse sp.a-gemeenteraadslid Victor V. die als eerste met het verhaal afkwam dat hij 'in zijn jeugd (30 jaar geleden) door Marcel Vervloesem gefolterd en verkracht was', werd niet opgeroepen voor de leugendetectortest.

Kort nadien werd Marcel Vervloesem door enkele minderjarigen die ondermeer wegens een gewapende roofoverval in een jeugdinstelling werden opgesloten (waaruit zij af en toe ontsnapten) opnieuw van 'folteringen en verkrachtingen' beschuldigd.
Zoals de andere zogenaamde slachtoffers komen de minderjarigen uit de kringen van Victor V. die dank zij de Herentalse politici tot OCMW-bestuurslid werd benoemd alhoewel hij zo'n 30 processen-verbaals van zedenfeiten met kinderen en minderjarigen op zijn naam heeft staan.

Jan Boeykens van de vzw Werkgroep Morkhoven maakte deze lijst met processen-verbaals op 24 oktober 2006 over aan procureur-generaal Christine Dekkers van het hof van beroep te Antwerpen.
Christine Dekkers was diegene die van de toenmalige justitieminister Tony Van Parys (CD&V) de opdracht kreeg om de 7 cd-roms met kinderporno die het Belgische Koningshuis van de Werkgroep Morkhoven had ontvangen, te onderzoeken.

Die cd-roms blijken thans gestolen te zijn, zoals de Antwerpse advocaat-generaal Marc Tack die de kinderpornozaak Zandvoort met de -volgens de federale politie- meer dan 88.000 slachtoffertjes een 'zeepbel' noemde, onlangs ter zitting moest toegeven.

Justitieminister Vandeurzen (CD&V) en tal van politici werden in verband met deze diefstal en het uitblijven van een onderzoek in de zaak Victor V. op de hoogte gebracht.
Zij wensen de diefstal van de cd-roms, zoals zij met de kinderpornozaak Zandvoort en de zaak Victor V. hebben gedaan, echter in de doofpot te steken.


http://werkgroep-morkhoven.skynetblogs.be/

mallondre a dit…

Marcel Vervloesem begint honger- en dorststaking in de gevangenis van Turnhout: geen bezoekrecht


Van: Jan Boeykens
Aan: Stefaan Van Hecke (Groen)
Cc: redactie.volkskrant.nl, redactie.trouw.nl, redactie.telegraaf.nl, redactie.belga.be, radionieuws.vrt.be, redactie.nu.nl, redactie.parool.nl, Redactie Het Vrije Volk, rbaeten.europarl.eu.int, Kamal Afettat, gilbertearens, antwerp.progresslaw.net, christel breugelmans, burgemeester.sint-truiden.be, Russo Carine, cda.publieksvoorlichting.tweedekamer.nl, dignite.yahoogroupes.fr, drsmkat, dentisterie_sociale, elke.tindemans, fbrepoels.europarl.eu.int, GENOT Zoe , hugo.coveliers.be, hoofdredactie.demorgen.be, vluchtelingenorganisaties.nl, laurette-onkelinx.be, kerkenwereld.be, journal.lesoir.be, kleintje.stelling.nl, kinderrechten.vlaamsparlement.be, kinderrechtenhuis.vzw, , nato-delegationen.brussel.foreign.ministry.se, Roelie Post, Ruf Nachtergaele, terzake.canvas.be, uae-embassy, voorlichtingrechtbank.sgrarr.drp.minjus.nl, hilbrand westra, ant.minbuza.nl, vnemb.brussels, willy.van.impe1, verbeke.lawfirm, frederic.bonher, issakaba, ministerq.be, csj.be, federaalombudsman.be, voorzitter.cdenv.be, cabinet.mod.mil.be, chris.nestor.vlaamsparlement.be, secretariaat.aartsbisdom.kerknet.be, secr.colpg.just.fgov.be, secretariat.iranembassy.be, secr.cass.just.fgov.be, euro-ombudsman.europarl.eu.int, laruelle.fgov.be, paul.magnette..fgov.be, Anne.martens.vlaanderen.be, pim.vanwalleghem.premier.fed.be, wathelet.fed.be, kabinet.peeters.vlaanderen.be, kabinet.keulen.vlaanderen.be
Datum: 5 sep. 2008 09:33
Onderwerp: Re: Bezoekrecht Marcel Vervloesem

Geachte Heer Van Hecke,

Marcel zal vandaag rond 13u.30 de gevangenis van Turnhout binnenstappen alwaar hij met zijn hartziekte, suikerziekte en kanker onmiddellijk aan een dorst- en hongerstaking zal beginnen waarbij hij iedere medicatie en medische behandeling zal weigeren.

Zoals u hebt gelezen heeft de Italiaanse arts die hem in de gevangenis wilde opzoeken nog altijd geen antwoord gekregen op zijn brieven aan minister van justitie Jo Vandeurzen (zie foto) en de directeur van de gevangenis te Turnhout.

Ook de aangetekende brieven van Prinses de Croÿ, ondervoorzitster van de Werkgroep Morkhoven, en mezelf aan minister Vandeurzen, het Koninklijk Paleis en de directeurs van de gevangenissen van Turnhout en Brugge, bleven onbeantwoord.

Dat lijkt er op te wijzen dat men het bezoekrecht van Marcel niet wil respecteren en dat men liever geen getuigen wenst als hij in de gevangenis moest overlijden.

In de hoop u daarmee voldoende geinformeerd te hebben, teken ik,

Met de meeste hoogachting,

Jan Boeykens
Voorzitter Werkgroep Morkhoven

Werkgroep Morkhoven vzw-asbl
Faiderstraat 10
1060 Sint-Gilles
België
Erkenningsnr. 443.439.55
werkgroepmorkhoven@gmail.com
Tel: 0032 (0)2 537 49 97

PS. Sorry voor het doorzenden van dit antwoord maar het kan wel eenseen kwestie van leven of dood zijn.